Le climat de la Terre se réchauffe et l’homme est le grand coupable, à cause des émissions (liées aux activités humaines) de gaz à effet de serre et notamment de gaz carbonique. Cela dit, le Soleil semble avoir une certaine responsabilité et contribuerait pour un quart voire un tiers au réchauffement…
On appelle « éclairement » la quantité d’énergie solaire reçue par la Terre. Cette quantité est –très légèrement- variable. Cette variation est liée au cycle solaire de 11 ans au cours duquel apparaissent et disparaissent des taches à la surface du Soleil. Lors du maximum du cycle solaire, le nombre de taches est supérieur à 50. Le dernier minimum du cycle solaire date de 1997. Le prochain surviendra vers 2008. Le dernier maximum s’est produit en 2002.
Cela dit, outre une variation de l’éclairement en fonction du cycle de 11 ans, des scientifiques apportent d’autres éléments concernant la variation de l’éclairement au fil du temps.
Ainsi, selon une équipe de scientifiques européens, notre étoile n’a jamais été aussi active qu’au cours des 70 dernières années et ce, depuis 11 000 ans ! Deux scientifiques français cherchent à confirmer et élargir (cette fois-ci sur 400 000 ans) ce résultat, via une autre méthode.
D’autre part, selon un chercheur américain, l’éclairement augmente sur le long terme, donc au-delà du cycle de 11 ans. Selon lui, l’activité solaire lors du minimum de chaque cycle de 11 ans serait chaque fois en hausse par rapport à la fois précédente. Le prochain minimum (vers 2008) permettra d’en savoir plus.
Enfin, l’augmentation sur le long terme du diamètre du Soleil est une hypothèse controversée. Le satellite Picard, qui sera lancé en 2008, aura son mot à dire à ce sujet.
Quoiqu’il en soit, il faut rappeler la grande responsabilité des hommes dans le réchauffement du climat et notamment son accentuation depuis les années 1970. L’intensité du phénomène (et ses conséquences) pour les temps futurs est en grande partie entre nos mains, quel que soit le rôle de notre étoile.
(d’après Ciel & Espace n° 418, mars 2005, mensuel édité par l’Association Française d’Astronomie -AFA)
Commentaires :
Re:
Re: Re:
une nouvelle fois,j ai le sentiment qu on minimise le role du soleil dans l evolution des climat,en raison du lobby effet de serre appuyé par le giec.inutile de vous rappelé que le giec n est formé que de quelques climatologues parmis les 3000 "scientifiques".en effet on trouve des economiste,des secretaires,des gens specialiste du nucleaire,mais peu ou pas de climatologue ou geographes!
la responsabilité de l homme n est absolument pas prouvé contrarement a ce qu ose nous faire croire le giec.en effet l activité solaire et le rechauffement des villes (en raison du beton et de l albedo moindre) explique en grande partie le rechauffement observé.les cycles solaires sont a prendre en compte aussi dans l evolution du climat a tres courte echeance.depuis 2003 l actvité solaire baisse et joue un role sur l oscilliation nord atlantique,entrainant un mode negatif de celle ci.cela apour consequence des flux meridiens plus frequents,des saisons plus marqués,une pluviometrie plus faible,des tempetes rares,des vagues de froid et de chaleur plus frequentes,des amplitudes thermiques accentuées.c est le cas depuis le 4 janvier 2003.la communauté meteo amateur s attend d ailleurs a un "grand hiver" en 2006/2007 en liaison avec le minimum solaire et l inversion du champ magnetique qui se produit tout les 22 ans en moyenne (dernier en date en 1984/85 et avant 1963 et encore avant 1940 (toutes ces années ont subies des grands hivers,celui de 1962/63 etant le plus froid du 20eme siecle
Re: Re:
c une question?
pouvais vous me dire comment le soleil ce mettrai a augmenter son intensite pendant 70ans alors que pendant 10000ans il a pas fait ce qui donnerai 70/10000*100= 0.7pour cent pff c n importe koi et puis ce type de variation si elle se produit une fois tout les 10000ans alors on as pas de chance que ca tombe pille quand on pollue!!!! et que on s en appercois!!! bizarre!!!! cette theorie!!!!
Il n'y a plus de place pour les ours blancs.